Texte et photos de Jacques Lanciault
Félix, mon petit-fils, grandit à vue d’œil! C’est normal, me direz-vous et vous aurez raison, mais je ne cesse de m’émerveiller de ses progrès. En novembre, il rampait, en décembre il se faufilait entre nos jambes à quatre pattes, en février voilà qu’il marche, puis en avril : il court… Et il a tant à apprendre, à apprivoiser, à toucher, à goûter et à entendre, qu’il court toujours.
Depuis qu’il marche, il a découvert les terrains de jeu. Voyez son excitation, voyez sa joie! Ne respire t-il pas le bonheur? Pourquoi, perdons-nous avec l’âge notre capacité au bonheur?
Avec la série de photos présentée ici, j’espère vous faire partager toute l’excitation qui s’empare d’un enfant, dans le cas présent de Félix, quand tous les manèges ne sont que pour eux.
Félix a tout d’abord choisit la glissade. On monte.
J’ai un plaisir fou.
Ça grimpe…
J’y suis presque!
Me voilà enfin arrivé!
Ça y est.
Une petite pause bien méritée.
Et hop, on y va!
Tiens, voilà mon papa qui veut s’assurer que je suis bien en selle.
Et hop, la tête la première, full fun!
Puis, on recommence!
On change de jeu!
Oups, on monte…
Le plancher des vaches est pas mal loin. Un peu plus et je touche aux étoiles!
C’est vraiment un endroit de rêve! J’aime bien jouer dans la maison, mais ici, c’est tout une expérience.
On redescend!
Puis, on remonte!
Non! T’es pas sérieux, il faut pas déjà repartir. Non! Non! Non!
Pas moyen de m’amuser pour la peine! Va falloir que je demande à ma Mamie de m’amener au parc à côté de chez-elle. C’est vraiment pas drôle la vie!